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jeudi 27 septembre 2018

Les doctorants ne veulent plus être vus comme des rats de laboratoire

A l’occasion de la finale internationale de « Ma thèse en 180 secondes », jeudi soir, entretien avec Alexandre Matic, représentant de la Confédération des jeunes chercheurs.

LE MONDE | 27.09.2018 à 13h44 • Mis à jour le 27.09.2018 à 14h10 | Propos recueillis par Alice Raybaud

En quoi l’événement « Ma thèse en 180 secondes » est-il le signe d’une évolution du rapport des doctorants avec le grand public ?

Alexandre Matic : Il participe de l’enjeu de vulgarisation de la recherche. C’est une évolution positive que l’on observe depuis quelques années et que les jeunes chercheurs ont bien intégrée. Ils ne veulent plus être assimilés à des rats de laboratoire et sont aujourd’hui habitués à devoir partager leurs recherches, ne serait-ce qu’avec leurs pairs. C’est ce que démontre, dans le domaine scientifique, l’ampleur que prend le mouvement open science (partage et diffusion des données de recherche). Diverses initiatives, comme « Ma thèse en 180 secondes » ou la Nuit européenne des chercheurs, qui aura lieu vendredi 28 septembre, permettent ainsi à l’ensemble de la société, très curieuse et demandeuse, de se tenir au courant des avancées de la recherche. C’est aussi un moment d’échange qui peut être profitable au chercheur lui-même : obtenir des retours, même par des personnes qui ne connaissent rien à la problématique, permet de soulever de nouveaux enjeux.

Quelle est la situation des doctorants français en 2018 ?

La précarité des jeunes chercheurs est alarmante. Sur les près de 12 000 doctorants inscrits en première année pour la rentrée 2016, 30 % se trouvaient sans financement pour leur thèse. Ils sont donc contraints de travailler à côté, souvent en tant que vacataires dans les universités. Ces prestations sont mal payées au vu des compétences d’un doctorant : si l’on prend en compte les heures de préparation des cours, le salaire est proche du smic. Sans compter que les vacataires sont sans contrat de travail : cela en fait des « ubérisés » du secteur de l’enseignement et de la recherche.

Une situation de pauvreté qui entraîne un très fort taux d’échec

Quant à ceux qui ne trouvent aucun emploi pour payer leurs études, ils se trouvent dans une situation de pauvreté qui entraîne un très fort taux d’échec. Il est intolérable que, en 2018, la recherche ne soit pas payée à sa juste valeur. Forcément, cela entraîne une diminution du nombre de thésards français : on en compte aujourd’hui environ 70 000, contre 80 000 il y a dix ans (touchant particulièrement les filières de sciences humaines et sociales, plus sujettes au manque de financement). Nous sommes sur une pente descendante quand nos voisins, l’Allemagne par exemple, voient leur nombre de doctorants augmenter.

Lire :   Après un doctorat, des débouchés très variables selon les disciplines

A l’étranger, le diplôme du doctorat est extrêmement valorisé. En France, les docteurs sont toujours en concurrence avec les diplômés de grandes écoles…

Effectivement, il existe une chasse gardée très franco-française qui consiste à réserver les postes dans le secteur privé, notamment en recherche et développement (RD), aux diplômés de grandes écoles de commerce ou d’ingénieur. En Allemagne ou aux Etats-Unis, le doctorat est valorisé en tant que tel — d’ailleurs, le docteur français est très courtisé à l’étranger. Une mentalité différente perdure en France, qui entend plutôt confiner les doctorants au secteur public : c’est se priver de talents incroyables. Le chômage des jeunes issus de doctorat s’élève, cinq ans après la sortie de l’université, à 14 % : pratiquement le double par rapport aux filières ingénieurs et grandes écoles. Quant au salaire médian des chercheurs dans le privé, il est aussi inférieur à ceux des ingénieurs et des personnes issues des grandes écoles.

Observe-t-on malgré tout une évolution dans la perception des docteurs par la société ?

Oui et il faut accompagner la valorisation naissante du diplôme de docteur. L’expérimentation, dès la session d’août 2019, d’un concours d’entrée à l’ENA [Ecole nationale d’administration] réservé aux doctorants est un bon signal : cela rappelle qu’ils sont en mesure de répondre aux profils attendus dans la fonction publique. Autre avancée : depuis mars, le doctorat figure dans le Registre national des certifications professionnelles (RNCP), par le biais de 22 fiches qui mettent en avant les compétences qu’un doctorant acquiert au cours de son cursus et dont il pourra faire profiter une entreprise. Un docteur est notamment à même de gérer des projets dans la recherche et développement, a une capacité de veille qui permet de jouer des coups stratégiques en avance et a tissé un réseau partout dans le monde : autant de compétences qui en font un atout pour le secteur privé.

Lire :   L’ENA ouvre un nouveau concours pour les diplômés de doctorat

Quel est l’enjeu du doctorat aujourd’hui ?

Aujourd’hui, les doctorants sont une population muette dans le cadre universitaire, car très peu, voire quasiment pas, représentée. Ils correspondent à une population à part entière – ni vraiment étudiants ni totalement personnels de l’enseignement supérieur –, qui n’est pas considérée comme telle et qui donc n’apparaît pas dans les conseils centraux,qui gèrent les universités. L’enjeu est de créer une sorte de statut d’apprenti de la recherche : nous appelons d’ailleurs de nos vœux une véritable contractualisation des jeunes doctorants. Grâce à ces contrats, ils seraient moins liés au seul bon vouloir des directeurs de thèse et seraient plus accompagnés au sein de l’université.

Lire :   Le secteur privé attire de plus en plus les titulaires d’un doctorat

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jeudi 31 août 2017

Le Business très florissant de l'édition scientifique est-il bon pour la science?

C’est un article du Guardian qui pose cette question : https://www.theguardian.com/science/2017/jun/27/profitable-business-scientific-publishing-bad-for-science?CMP=share_btn_fb

Réponse : NON.

Finira t-il par s’essouffler ? Harvard a déjà boycotté Elsevier et demandé à ses chercheurs de rendre public tous leurs travaux.
Et Alexandra Elbakyan est toujours poursuivie par Elsevier (pour avoir rendue publique et accessible une super banque d’articles) et qui lui demande de payer 15 millions de dollars - cela me rappelle les affaires de Monsanto.

L’article : des choses qu’on connait déjà mais l’étude est plus approfondie puisqu’on est remonté jusqu’au temps de l’initiateur de ce business en or, le baron de la presse Robert Maxwell, un ancien soldat tchèque de l’armée britannique (Seconde guerre mondiale).

Robert Maxwell in 1985.

Quelques extraits de l’article : (traduction quasi googlisée - mais le sens est là)

Extrait 1 :

"Les scientifiques créent des travaux sous leur propre direction - financés en grande partie par les gouvernements - et les "donnent" aux éditeurs gratuitement; L’éditeur renvoie aux éditeurs scientifiques qui jugent si le travail vaut la peine d’être publié et vérifie la grammaire (entre autres), mais la majeure partie du fardeau éditorial - le contrôle de la validité scientifique et l’évaluation des expériences, un processus connu sous le nom d’évaluation par les pairs - est réalisé par des scientifiques travaillant sur la base d’un bénévolat. Les éditeurs vendent ensuite le produit aux bibliothèques institutionnelles et universitaires financées par le gouvernement, à lire par les scientifiques - qui, dans un sens collectif, ont créé le produit en premier lieu.
C’est comme si le New Yorker ou l’Economist exigeait que les journalistes écrivent et éditent des articles gratuitement, et demande au gouvernement de payer. Les observateurs extérieurs ont tendance à tomber dans une sorte d’incrédulité étourdie lors de la description de cette configuration. Un rapport du comité parlementaire des sciences et de la technologie de 2004 sur l’industrie a constaté que «dans un marché traditionnel, les fournisseurs sont payés pour les produits qu’ils fournissent». Un rapport de la Deutsche Bank de 2005 l’a qualifié de système «bizarre» à la «triple pay», dans lequel «l’État finance la plupart des recherches, paie les salaires de la plupart de ceux qui vérifient la qualité de la recherche, puis achète la plupart des produits publiés ".
Les scientifiques savent bien qu’il y a là une mauvaise affaire. L’entreprise d’édition est "perverse", le biologiste  Michael Eisen de Berkeley  a écrit dans un article de 2003 pour The Guardian, déclarant qu’il «devrait être un SCANDALE PUBLIC». Adrian Sutton, physicien de l’Imperial College, dit que les scientifiques «sont tous ESCLAVES des éditeurs. Quelle autre industrie reçoit ses matières premières de ses clients, utilisent ces mêmes clients pour mener à bien le contrôle de la qualité de ces matériaux et vend les mêmes matériaux aux clients à un prix considérablement gonflé?"


Extrait 2 :

"Aujourd’hui, tous les scientifiques savent que leur carrière dépend de leurs publications et que leur carrière professionnelle est particulièrement déterminée par leur travail publié dans les revues les plus prestigieuses. Le recherche lente (slow science) et presque sans direction déjà poursuivie par les scientifiques les plus célèbres et influents du 20ème siècle n’est plus une option de carrière viable. Dans le système d’aujourd’hui, le père du séquençage génétique, Fred Sanger, qui a publié très peu dans les deux décennies entre ses prix Nobel de 1958 et 1980, pourrait bien se retrouver SANS EMPLOI aujourd’hui."

CQFD

Le reste (frappant) est à lire (article du 27 juin 2017) : clic  ICI

samedi 25 mars 2017

La morale collective

mardi 7 février 2017

Au front même à la fac.

No comments :

source : une année au Lycée, http://uneanneeaulycee.blog.lemonde.fr

http://uneanneeaulycee.blog.lemonde.fr/files/2016/11/Erre_Lyc%C3%A9e_025_couleur.jpg

http://uneanneeaulycee.blog.lemonde.fr/files/2016/11/Erre_Lyc%C3%A9e_026_couleur.jpg

http://uneanneeaulycee.blog.lemonde.fr/files/2016/11/Erre_Lyc%C3%A9e_027_couleur.jpg

jeudi 1 septembre 2016

Comment écrire sa thèse

Avez vous déjà écrit votre thèse ?

Si ce n’est toujours pas le cas et que cette "chose" vous pose vraiment problème, alors voici deux tuyaux :

  • Un livre écrit par une pointure - Umberto Eco qui s’intitule : "Comment écrire sa thèse". C’est une traduction de l’italien d’un livre déjà écrit de son vivant dans les années 70.  Bonne lecture et à vos crayons !! - une thèse c’est pour l’humanité - ça le devrait en tous cas !!














    Assieds toi et écrit  : Des conseils très précieux donnés par une professeure au Québec dans le cadre d’une conférence à Strasbourg

lundi 13 juin 2016

Lectures éclairs, éclairées et éclairantes !

En France - en date du 6 juin 2016.


Recherche : un système décourageant


Politique de la recherche : démission en masse à l’ANR

On y revient et les choses se confirment. Bref, on vit dans une drôle d’époque.

Bonne Lecture !

jeudi 11 juin 2015

L'informatique en Musik

Chanson Plus Bifluorée




L’Informatique

Paroles: X.Cherrier-M.Puyau-S.Richardot-M.Maignan
Parodie tirée «Je ne suis pas bien portant» (G.Koger /
G.Boursac-M.Joséo)


jeudi 7 mai 2015

A lire maintenant !

mercredi 6 mai 2015

PLOS ONE : paper rejected with a single review !.

A lire ici : http://news.sciencemag.org/scientific-community/2015/04/sexist-peer-review-elicits-furious-twitter-response

eh oui ! on n’est pas sorti de l’auberge !

lundi 19 janvier 2015

STOP CENSURE

En hommage à CHARLIE :
Ci-dessous quelques dessins, caricatures et images déjà utilisés dans ce blog pour dénoncer des choses issues du monde de l’enseignement et de la recherche aujourd’hui (un croquis - un billet). Et ça continue ...

                

jeudi 3 juillet 2014

Pourquoi n'y a t-il pas (assez) de politique de retour en France ?

Pour les post-doctorants bien sûr mais aussi pour d’autres expatriés.

Pas assez en tout cas, comme le dit ici Laurent Bigorgne de l’institut Montaigne.

Trop de rigidité dans le marché de l’emploi en France ?

Le système n’est toujours pas assez attractif pour le recrutement de compétences à l’étranger, même pour faire revenir des français expatriés.

Débat intéressant à écouter sur :

http://www.franceculture.fr/emission-culturesmonde-influence-francaise-a-l%E2%80%99etranger-34-faire-des-expatries-de-nouveaux-ambassade

dimanche 29 décembre 2013

Recherche Mondiale : Graves Inégalités

L’étude reste critiquable, voire discutable mais révèle néanmoins de graves inégalités H/F dans la recherche mondiale.
Les clichés nous rattrapent !!
Ironie du sort : les femmes de Pouvoir participent plus que leurs homologues hommes à creuser le fossé de l’inégalité (notamment lors du recrutement)

Passeur de sciences nous l’expose dans un billet de son blog à lire absolument.
Source : Nature, au 11 Déc 2013.

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/12/22/de-graves-inegalites-hommes-femmes-dans-la-recherche-mondiale/  

Merci pour ce billet et pour plein d’autres billets "lumières".


jeudi 13 décembre 2012

Recherche publique, revues privées

"Les articles de fond ne remontent jamais à la surface",

Boris Vian ;

En voici un ...

Article récent (déc 2012) tiré du "Monde Diplo" et qui reprend les faits d’un de mes anciens billets concernant le boycottage de Harvard des abonnements d’Elsevier.







Aux lourds rayonnages des bibliothèques universitaires s’ajoutent désormais une pléthore de revues spécialisées en ligne, qui offrent sans délai et souvent sans barrière de paiement les derniers résultats des laboratoires de recherche. Cette transformation pousse les scientifiques à s’interroger sur leurs modèles de publication, afin de les remettre au service de la connaissance et du public.

par Richard Monvoisin, décembre 2012

 

 « Publier ou périr » : la sentence du zoologiste Harold J. Coolidge résume la vie d’un chercheur. Peu importe, pour son prestige universitaire, que son enseignement soit brillant, ses étudiants bien soutenus ou qu’il fasse le café aux collègues le matin : l’évaluation du travail de recherche ne repose en définitive que sur la somme et la qualité des articles publiés dans des revues scientifiques. L’exposé ordonné des résultats, passant sous les fourches Caudines de la relecture par les experts du domaine — ce qu’on appelle couramment la relecture par les pairs, ou peer review —, en est la clé.

Les publications sont spécialisées selon le domaine de recherche. Ainsi, un expert de l’histoire moderne de la France a le choix entre une dizaine de revues hexagonales, et près d’une centaine de périodiques accueillent les travaux de recherche en physique. Pour choisir la porte à laquelle frapper, il faut adapter ses prétentions en tenant compte du facteur d’impact de la revue, c’est-à-dire de sa valeur sur le marché du savoir. Cette valeur est fondée non pas sur l’audience, mais sur le nombre moyen de citations des articles de ladite revue dans d’autres articles scientifiques. Il convient de viser juste : trop bas (une revue peu connue), et l’article ne sera pas apprécié à sa juste valeur ; trop haut (les meilleures publications), et il peut être bloqué des mois durant par les relecteurs, pour finalement se voir refusé. La concurrence étant vive entre les équipes de recherche, on court alors le risque de se retrouver dépassé sur la ligne d’arrivée.

Non seulement l’auteur de l’article n’est pas payé, mais son laboratoire doit aussi bien souvent participer aux frais de secrétariat ou d’impression. En échange, il reçoit du capital symbolique (reconnaissance, prestige) : le droit d’indiquer le titre de l’article — nimbé de son facteur d’impact — sur son curriculum vitae. Quant aux lecteurs-évaluateurs de l’article, ce sont des scientifiques anonymes sollicités par la revue ; eux aussi ne sont rémunérés qu’en capital (...)


lundi 26 novembre 2012

La Web Radio des étudiants

Lancement aujourd’hui de Frane Culture Plus, la radio de France Culture dédiée aux étudiants. (*) 

En effet, France Culture n’est pas seulement la radio des profs - avait dit ce matin quelqu’un à cette même radio (pour ne pas citer de nom).

La Web Radio permettra de tisser les liens au plus près avec les étudiants : conférences, colloques, professionnalisation privé-public, le monde de la recherche et la vie dans les labos, récits de thèses de doctorat, de travaux de postdoctorat, et de manière générale toute production multimédia provenant des Universités et des Grandes écoles, en direct de la radio !


Et pour commencer, aujourd’hui :

(*)  l’image d’illustration a été extraite du site de France Culture

lundi 5 novembre 2012

Dépister le cancer à l'œil nu grâce aux nanoparticules..

..ainsi que le VIH, grâce à la détection de marqueurs spécifiques, comme l’antigène PSA spécifique au cancer de la prostate, et le P24 marqueur spécifique du VIH. Des chercheurs britanniques ont mis au point ce test qui reste à valider sur une plus vaste population.

Si ceci n’est pas un scoop, ce prototype serait dix fois plus sensible que les procédés actuels et dix fois moins cher à fabriquer, selon les inventeurs. A ce prix là, les tests de validation à grande échelle se feront dans les pays défavorisés (ahah !) avant d’être mis en application en Europe.

Mais dans tous les cas : "A bas le cancer !" 

Retrouvez les détails (dont les références de la publication des inventeurs) ici 

jeudi 26 avril 2012

Harvard boycotte Elsevier

"J’espère que d’autres universités vont faire des actions similaires. On est tous confrontés au même paradoxe. Nous faisons les recherches, écrivons les articles, œuvrons au référencement des articles par d’autres chercheurs, le tout gratuitement... Et ensuite nous rachetons le résultat de notre travail à des prix scandaleux."

Voilà ce qu’a dit le directeur de la bibliothèque de Harvard qui n’arrive plus à alimenter ses "rayons", jugeant que les abonnements aux revues de recherche sont à des prix exorbitants.

Une pétition internationale qui appelle au boycott de l’éditeur Elsevier -  "Cost of Knowledge"  ou "le prix du savoir"  -  est en cours (10000 signataires déjà).

L’origine de cette action est un article du blog d’un mathématicien (médaille Fields 1998) qui annonce ne plus publier ses travaux dans les revues d’Elsevier.

Et en France c’est pour quand le COURAGE  ???

Plus de détails sur le sujet ici.


jeudi 26 janvier 2012

Publish or Perish






Comprenez :  plus vos travaux sont originaux moins vous aurez de la chance à les financer (extrait de JBC journal)


Sur le site de Anne-will Harzing, Professeur aux "international management department" de l’université de Melbourne en Australie, on peut télécharger le logiciel "Publish or Perish" version 5.3, disponible depuis le 12 janvier 2012.
Si vous avez l’intention de candidater pour un nouvel emploi  académique, si vous voulez y inclure une preuve de l’impact de vos recherches, si vos travaux sont cités dans des revues qui ne sont pas référencées dans la base ISI ou dans d’autres gros portails bibliographiques comme PubMed, alors vous pourriez vouloir essayer "Publish or Perish" conçu pour aider les universitaires à présenter l’impact de leurs recherches à son meilleur avantage.
"Publish or Perish
" est un logiciel qui récupère et analyse les citations académiques puis présente entre autres les statistiques suivantes : 
nombre total de documents, nombre total de citations , nombre moyen de citations par article, nombre moyen de citations par auteur, nombre moyen de publications par auteur, nombre moyen de citations par an, h-index Hirsch et ses paramètres, et le g-index Egghe.


En France ça discute pas mal aussi : voir "les pathologies du h-index" sur Gaïa Universitas  

jeudi 3 novembre 2011

Berlin, 15-25 Oktober 2011


mardi 7 juin 2011

Radioscopie du métier de Maître de Conférences

A écouter  sur :


Emission SUR-LES-DOCKS :

En territoire universitaire (1/4) :
"Maître de conférences, les tribulations de nos enseignants chercheurs"

http://www.franceculture.com/emission-sur-les-docks-en-territoire-universitaire-14-maitre-de-conferences-les-tribulations-de-nos-

samedi 30 avril 2011

hallo Berlin !

Berlin le 28 Avril 2011  (ESF Grant) - dessins enfantins de métros (S+U-bahn) Berlinois.

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